Et on reparle de la gare et de son aménagement

La diffusion en juin des projets de desserte TER pour 2017 a été perçue comme l’annonce de futurs horaires déjà décidés, alors qu’il s’agissait de lancer la consultation en ligne.. Les élus de droite ont voulu s’en servir pour attaquer la Région.

Ceux qui voient la politique comme un champ de bataille où tous les coups sont permis diront que « c’est de bonne guerre.  » Pour nous, l’action politique vise d’abord à améliorer la vie des citoyens, et par exemple, à faciliter leurs déplacements quotidiens. La réunion avec G. Lahellec, le vice-président de la Région en charge du dossier, a permis de lever la plus grande partie des difficultés, bien qu’il reste des points à traiter, avec une période délicate au 2nd semestre 2017 (travaux sur la ligne Redon/Rennes).

La Région poursuit son action pour améliorer le service de proximité, et les TER n’ont pas été sacrifiés au profit de la grande vitesse. Elle prévoit une hausse de 10 % de la fréquentation des TER d’ici 2019. Cela passe par l’amélioration des voies, l’acquisition de nouvelles rames et aussi par la rénovation des gares, dont celle de Questembert avec un total d’1 200 000 euros de financement régional, toutes interventions confondues.

Un projet urbain pensé largement en amont

Tout cela est en cohérence avec le projet urbain dessiné dans le mandat précédent  : installation du siège de la communauté, rénovation et extension des parkings, positionnement du giratoire d’accès, etc.

Au bout du compte, plus de trains (26 arrêts, hors week-end, à Questembert en 2018, 4 de plus qu’aujourd’hui, ensuite, il y en aura sans doute 28 !), une meilleure desserte globale : la gare de Questembert est et restera un atout majeur pour notre territoire.