Cette municipalité ne voit dans la culture que la « reproduction », la reprise de ce qui se faisait, en affublant cette paresse intellectuelle du nom de tradition. Non la culture bretonne (ou gallèse) ce n’est pas du folklore figé, c’est au contraire la richesse des apports divers. Un exemple, d’où croyez-vous que vient la « polka piquée » , danse « traditionnelle » de chez nous ?
Le mot polka vient du tchèque půlka (moitié ou demi)[réf. nécessaire], décrivant le pas chassé (demi-pas) servant de base à la danse[réf. nécessaire]. Dérivée de plusieurs danses[réf. nécessaire] (nimra, bourrée, écossaise, scottish...), après Prague en 1835[réf. nécessaire], puis Vienne en 1839[réf. nécessaire], c’est à partir de Paris en 1840 qu’elle se répand dans l’Europe entière, donnant lieu à une véritable « polkamania ».
Quant à la reprise des « chansons françaises » par M. Heude, c’est sympathique, mais ça justifie vos questions, Guénaël.
Bien vu Guenaël !
Cette municipalité ne voit dans la culture que la « reproduction », la reprise de ce qui se faisait, en affublant cette paresse intellectuelle du nom de tradition. Non la culture bretonne (ou gallèse) ce n’est pas du folklore figé, c’est au contraire la richesse des apports divers. Un exemple, d’où croyez-vous que vient la « polka piquée » , danse « traditionnelle » de chez nous ?
Quant à la reprise des « chansons françaises » par M. Heude, c’est sympathique, mais ça justifie vos questions, Guénaël.
N’attendez pas de réponse, cependant...