Régionales : brillante confirmation du premier tour
23 mars 2010, 17:02, par Claude
L’écart extrêmement important entre la gauche et la droite - à Questembert comme en Bretagne - est l’un des plus forts que nous ayons connu.
Ce glissement politique est à mettre en lien avec la crise profonde du système, qui justifiait aux yeux des Français des changements majeurs. La majorité parle de vote de crise pour « dédouaner » le gouvernement et le président de la claque qu’ils se sont pris.
Mais c’est bel et bien l’absence de stratégie de sortie de crise et les choix inégalitaires opérés avant et pendant la crise qui sont sanctionnés aujourd’hui.
La crise redonne à l’opposition une actualité nouvelle. Le basculement de l’électorat vers la gauche n’est pas seulement un vote sanction, mais un vote d’exigence de changement.
L’opposition doit prendre la mesure de cette attente.
L’écart extrêmement important entre la gauche et la droite - à Questembert comme en Bretagne - est l’un des plus forts que nous ayons connu.
Ce glissement politique est à mettre en lien avec la crise profonde du système, qui justifiait aux yeux des Français des changements majeurs. La majorité parle de vote de crise pour « dédouaner » le gouvernement et le président de la claque qu’ils se sont pris.
Mais c’est bel et bien l’absence de stratégie de sortie de crise et les choix inégalitaires opérés avant et pendant la crise qui sont sanctionnés aujourd’hui.
La crise redonne à l’opposition une actualité nouvelle. Le basculement de l’électorat vers la gauche n’est pas seulement un vote sanction, mais un vote d’exigence de changement.
L’opposition doit prendre la mesure de cette attente.