Le maire de Questembert n’est pas à lui tout seul la CDEC. La CDEC comporte un représentant de la communauté, le maire de Vannes ou son délégué, qui souvent vote comme les deux premiers ; il y a aussi un représentant des consommateurs, un de la chambre de commerce, un de la chambre des métiers. Seul le représentant de la Chambre de commerce a voté pour le projet de M. Lemaire.
Cela étant précisé, il faut apporter quelques précisions et corriger quelques erreurs.
M. Lemaire oublie de dire qu’il est en train de vendre son affaire à Questembert : s’il obtient son agrandissement à 3500 m2, c’est une plus-value de 15 à 20% qu’il gagne sur une simple décision administrative... Est cela qui le préoccupe ou l’avenir de ses salariés ?
Non, le transfert de Netto n’a pas été refusé, M. Lemaire l’a retiré. Il est vrai qu’il avait expliqué, quelque temps avant, dans Ouest-France, qu’il ne fallait pas autoriser l’ouverture d’un LIDL pour éviter d’affaiblir le commerce du centre-ville... De même, le transfert de la station n’avait pas été refusé ; M. Lemaire l’avait retiré, le 14 octobre 2003. Le même jour, nous lui accordions l’autorisation d’étendre sa surface de vente à 2705 m2. Et cette autorisation lui a été accordée parce qu’il avait le terrain pour cela. Le terrain Blanchard dont il parle était destiné au transfert du Netto.
Quant à l’évasion commerciale, que nie M. Lemaire, elle est bien réelle, et pour cause : les associations de consommateurs ont fait un panier comparatif. Et ce n’est pas à Questembert qu’on trouve les meilleurs prix.
Sur l’étude menée à la demande de la communauté par la SCET, il faut, pour ne vexer personne, dire qu’elle se fondait sur des projections de population inférieures à la réalité et sur des hypothèses de création de surfaces commerciales : si nous ne faisons rien, c’est vrai qu’il n’y aura plus de place pour nous. Et c’est de la responsabilité du maire de défendre les intérêts de sa commune et de ses habitants.
Pour éclairer le débat et rectifier des erreurs
Le maire de Questembert n’est pas à lui tout seul la CDEC. La CDEC comporte un représentant de la communauté, le maire de Vannes ou son délégué, qui souvent vote comme les deux premiers ; il y a aussi un représentant des consommateurs, un de la chambre de commerce, un de la chambre des métiers. Seul le représentant de la Chambre de commerce a voté pour le projet de M. Lemaire.
Cela étant précisé, il faut apporter quelques précisions et corriger quelques erreurs.
M. Lemaire oublie de dire qu’il est en train de vendre son affaire à Questembert : s’il obtient son agrandissement à 3500 m2, c’est une plus-value de 15 à 20% qu’il gagne sur une simple décision administrative... Est cela qui le préoccupe ou l’avenir de ses salariés ?
Non, le transfert de Netto n’a pas été refusé, M. Lemaire l’a retiré. Il est vrai qu’il avait expliqué, quelque temps avant, dans Ouest-France, qu’il ne fallait pas autoriser l’ouverture d’un LIDL pour éviter d’affaiblir le commerce du centre-ville... De même, le transfert de la station n’avait pas été refusé ; M. Lemaire l’avait retiré, le 14 octobre 2003. Le même jour, nous lui accordions l’autorisation d’étendre sa surface de vente à 2705 m2. Et cette autorisation lui a été accordée parce qu’il avait le terrain pour cela. Le terrain Blanchard dont il parle était destiné au transfert du Netto.
Quant à l’évasion commerciale, que nie M. Lemaire, elle est bien réelle, et pour cause : les associations de consommateurs ont fait un panier comparatif. Et ce n’est pas à Questembert qu’on trouve les meilleurs prix.
Sur l’étude menée à la demande de la communauté par la SCET, il faut, pour ne vexer personne, dire qu’elle se fondait sur des projections de population inférieures à la réalité et sur des hypothèses de création de surfaces commerciales : si nous ne faisons rien, c’est vrai qu’il n’y aura plus de place pour nous. Et c’est de la responsabilité du maire de défendre les intérêts de sa commune et de ses habitants.