La logique est claire : face à une société dépolitisée et qui a peur, le MEDEF, par l’intermédiaire de son serviteur zélé, se permet la grossièreté de faire miroiter une hausse très hypothétique du salaire net en contrepartie d’une baisse des cotisations salariales.
Et qui paiera pour compenser les déficits de la sécu et des retraites ?
Les salariés, les chômeurs, les artisans, les petits entrepreneurs, bref nous !
Et qui récolera les fruits de ce nouvel impôt ?
Les actionnaires, les profiteurs, les amis du CAC 40, bref les autres !.
La logique est claire : face à une société dépolitisée et qui a peur, le MEDEF, par l’intermédiaire de son serviteur zélé, se permet la grossièreté de faire miroiter une hausse très hypothétique du salaire net en contrepartie d’une baisse des cotisations salariales.
Et qui paiera pour compenser les déficits de la sécu et des retraites ?
Les salariés, les chômeurs, les artisans, les petits entrepreneurs, bref nous !
Et qui récolera les fruits de ce nouvel impôt ?
Les actionnaires, les profiteurs, les amis du CAC 40, bref les autres !.
On nous endort !