La mutualité, nouvelle « vache à lait » du gouvernement.
20 septembre 2011, 21:49, par Jean Airalbol
Le secteur des complémentaires santé est devenu, ces dernières années, une des cibles privilégiées de la politique gouvernementale.
En 2010, déjà, les contrats santé responsables, jusque là exonérés, étaient assujettis à la taxe spéciale sur les conventions d’assurance au taux réduit de 3,5%. Désormais, la taxation sera majorée à 7%.
Ces réformes sont à la fois injustes et coûteuses.
Injustes, tout d’abord, puisque l’augmentation de la taxation est immédiatement répercutée par les mutuelles sur les assurés via une hausse des cotisations.
Coûteuse parce que cette hausse des cotisations pousse de nombreux concitoyens à retarder ou à renoncer à des soins simples qui pourraient éviter une maladie plus grave dont la prise en charge est bien plus onéreuse
Le secteur des complémentaires santé est devenu, ces dernières années, une des cibles privilégiées de la politique gouvernementale.
En 2010, déjà, les contrats santé responsables, jusque là exonérés, étaient assujettis à la taxe spéciale sur les conventions d’assurance au taux réduit de 3,5%. Désormais, la taxation sera majorée à 7%.
Ces réformes sont à la fois injustes et coûteuses.
Injustes, tout d’abord, puisque l’augmentation de la taxation est immédiatement répercutée par les mutuelles sur les assurés via une hausse des cotisations.
Coûteuse parce que cette hausse des cotisations pousse de nombreux concitoyens à retarder ou à renoncer à des soins simples qui pourraient éviter une maladie plus grave dont la prise en charge est bien plus onéreuse