Cette réforme n’a pas l’adhésion de la majorité des français.
Le Président, fort de son élection de 2007, peut, bien sûr, s’obstiner.
Cependant le fait que cette réforme n’était pas dans son programme, qu’il rappela à plusieurs reprises sa volonté de ne pas toucher à l’âge légal de la retraite pendant son quinquennat, légitiment les désordres et la contestation qui répondent à la précipitation avec laquelle il est revenu sur ses dires.
La division des français qui s’ensuit, et surtout la proximité d’une élection nationale, me font penser qu’il serait plus habile et efficace de lier cette réforme aux propositions faites dans le programme politique proposé par chaque parti : un débat tranché par l’élection présidentielle. La mise en place sans contestation possible d’une réforme pourrait alors s’effectuer.
En réalité les Français sentent bien que le problème est financier et que le Gouvernement veut le faire régler par les seuls salariés.
Le Président sera jugé en 2012 sur son sens de l’intérêt général de l’état ou bien sur son sens des intérêts de l’argent que pourrait drainer une incitation au système de retraite par capitalisation qu’amènera inévitablement la peur engendrée par le niveau des retraites par répartition que provoque sa réforme.
Heureux hasard ? Guillaume Sarkozy, frère du président, a mis en place un fond de pension grâce aux caisses financières dépendant de l’état (CDC et CNP).
Cette réforme n’a pas l’adhésion de la majorité des français.
Le Président, fort de son élection de 2007, peut, bien sûr, s’obstiner.
Cependant le fait que cette réforme n’était pas dans son programme, qu’il rappela à plusieurs reprises sa volonté de ne pas toucher à l’âge légal de la retraite pendant son quinquennat, légitiment les désordres et la contestation qui répondent à la précipitation avec laquelle il est revenu sur ses dires.
La division des français qui s’ensuit, et surtout la proximité d’une élection nationale, me font penser qu’il serait plus habile et efficace de lier cette réforme aux propositions faites dans le programme politique proposé par chaque parti : un débat tranché par l’élection présidentielle. La mise en place sans contestation possible d’une réforme pourrait alors s’effectuer.
En réalité les Français sentent bien que le problème est financier et que le Gouvernement veut le faire régler par les seuls salariés.
Le Président sera jugé en 2012 sur son sens de l’intérêt général de l’état ou bien sur son sens des intérêts de l’argent que pourrait drainer une incitation au système de retraite par capitalisation qu’amènera inévitablement la peur engendrée par le niveau des retraites par répartition que provoque sa réforme.
Heureux hasard ? Guillaume Sarkozy, frère du président, a mis en place un fond de pension grâce aux caisses financières dépendant de l’état (CDC et CNP).
Voir en ligne : La réforme des retraites va-t-elle bénéficier au frère Sarkozy ?