Merci d’avoir souligné l’injustice faite aux femmes
oui, les femmes sont souvent à temps réduit, soit parce qu’elles supportent d’autres contraintes que celles du travail, de la famille, par exemple,
. puisque les tâches sont inégalement partagées.
deux chiffres : 30% des femmes occupent aujourd’hui un emploi à temps réduit. seulement 5% chez les hommes.
Et je ne vous parle pas des « emplois domestiques » mal déclarés ou pas déclarés du tout. Quand la gardienne de mes enfants a demandé ses droits à la retraite, elle a constaté que bien des parents n’avaient jamais déclaré le travail. Cela s’est atténué avec les avantages fiscaux accordés à ceux qui emploient des services « domestiques »...
Qui sont d’ailleurs les principaux bénéficiaires de ces avantages fiscaux ?
Souvent, « profession féminisée » rime avec « profession discriminée et mal payée. »
Une majorité de femmes, surtout en situation précaire, n’arriveront jamais à 67 ans. Elles seront licenciées avant, avec une pension de retraite misérable. Voilà la réalité.
Merci d’avoir souligné l’injustice faite aux femmes
oui, les femmes sont souvent à temps réduit, soit parce qu’elles supportent d’autres contraintes que celles du travail, de la famille, par exemple,
. puisque les tâches sont inégalement partagées.
deux chiffres : 30% des femmes occupent aujourd’hui un emploi à temps réduit. seulement 5% chez les hommes.
Et je ne vous parle pas des « emplois domestiques » mal déclarés ou pas déclarés du tout. Quand la gardienne de mes enfants a demandé ses droits à la retraite, elle a constaté que bien des parents n’avaient jamais déclaré le travail. Cela s’est atténué avec les avantages fiscaux accordés à ceux qui emploient des services « domestiques »...
Qui sont d’ailleurs les principaux bénéficiaires de ces avantages fiscaux ?
Souvent, « profession féminisée » rime avec « profession discriminée et mal payée. »
Une majorité de femmes, surtout en situation précaire, n’arriveront jamais à 67 ans. Elles seront licenciées avant, avec une pension de retraite misérable. Voilà la réalité.