Dans son éditorial du vendredi 16 avril, Michel URVOY, qui est souvent très indulgent avec le gouvernement, tire à boulets rouges sur le projet de réforme territoriale présenté au parlement qui illlustre, dit-il, « la méthode d’un pouvoir critiqué, jusque dans ses rangs, pour sa gouvernance. » C’est « une demi-réforme, un projet conçu à l’envers et une vision à contre-emploi. »
« On brandit d’abord l’élu territorial, comme si la fusion du conseiller régional et général pouvait être la source principale d’économie. On cherche un mode de scrutin plus avantageux pour l’UMP. On allège la taxe professionnelle et on encadre des taux d’imposition qui retirent aux collectivités quasiment toute liberté et trahissent l’arrière-pensée centralisatrice du pouvoir. »
« C’est une reprise en mains des collectivités qui distingue la France des autres pays, heureux de disposer d’une décentralisation poussée. »
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Dans son éditorial du vendredi 16 avril, Michel URVOY, qui est souvent très indulgent avec le gouvernement, tire à boulets rouges sur le projet de réforme territoriale présenté au parlement qui illlustre, dit-il, « la méthode d’un pouvoir critiqué, jusque dans ses rangs, pour sa gouvernance. » C’est « une demi-réforme, un projet conçu à l’envers et une vision à contre-emploi. »
« On brandit d’abord l’élu territorial, comme si la fusion du conseiller régional et général pouvait être la source principale d’économie. On cherche un mode de scrutin plus avantageux pour l’UMP. On allège la taxe professionnelle et on encadre des taux d’imposition qui retirent aux collectivités quasiment toute liberté et trahissent l’arrière-pensée centralisatrice du pouvoir. »
« C’est une reprise en mains des collectivités qui distingue la France des autres pays, heureux de disposer d’une décentralisation poussée. »
A lire sur le site d’Ouest-France : Le choc de deux visions territoriales