Nouveau membre au sein des équipes éducatives de nos collèges : le portique de sécurité
16 mai 2009, 14:49, par U,e maman
Près de Toulouse, une enseignante a été poignardée par un de ses élèves âgé de seulement 13 ans. Les faits sont tragiques et heureusement rares dans notre pays.
Le comportement de ce gamin n’est évidemment pas normal. Et comme il s’agit d’un tout jeune adolescent, des mesures éducatives s’imposent pour prévenir d’autres comportements dangereux de sa part et bien-sûr pour le sauver lui-même. Le mieux comme toujours aurait été qu’un travail puisse être fait en amont.
Ce n’est pas toujours possible. Les professionnels, enseignants et équipes éducatives, font tout ce qu’ils peuvent pour lutter contre la violence à l’école.
Mais il faut des moyens humains. Il faut davantage de surveillants, renforcer l’accompagnement social (assistantes sociales, éducateurs spécialisés, infirmières scolaires), et leur donner les moyens de travailler dans des conditions acceptables.
Ce matin les professeurs et parents d’élèves de cet établissement de Toulouse disaient à quel point la situation était devenu tendue.
Se déplaçant sur les lieux du drame, le ministre de l’éducation nationale, refuse ouvertement d’attribuer des moyens humains supplémentaires. Il propose simplement l’installation de portiques de sécurité.
Il faut arrêter tout de suite l’hémorragie des moyens dans nos établissements scolaires. L’argent économisé servira-t-il à installer des portiques de sécurité ?
Près de Toulouse, une enseignante a été poignardée par un de ses élèves âgé de seulement 13 ans. Les faits sont tragiques et heureusement rares dans notre pays.
Le comportement de ce gamin n’est évidemment pas normal. Et comme il s’agit d’un tout jeune adolescent, des mesures éducatives s’imposent pour prévenir d’autres comportements dangereux de sa part et bien-sûr pour le sauver lui-même.
Le mieux comme toujours aurait été qu’un travail puisse être fait en amont.
Ce n’est pas toujours possible. Les professionnels, enseignants et équipes éducatives, font tout ce qu’ils peuvent pour lutter contre la violence à l’école.
Mais il faut des moyens humains. Il faut davantage de surveillants, renforcer l’accompagnement social (assistantes sociales, éducateurs spécialisés, infirmières scolaires), et leur donner les moyens de travailler dans des conditions acceptables.
Ce matin les professeurs et parents d’élèves de cet établissement de Toulouse disaient à quel point la situation était devenu tendue.
Se déplaçant sur les lieux du drame, le ministre de l’éducation nationale, refuse ouvertement d’attribuer des moyens humains supplémentaires. Il propose simplement l’installation de portiques de sécurité.
Il faut arrêter tout de suite l’hémorragie des moyens dans nos établissements scolaires.
L’argent économisé servira-t-il à installer des portiques de sécurité ?