C’est la période des soldes, c’est le moment de s’offrir une bague déclassée ou une robe Dior démodée. Pour notre Président , ce sont les soldes tout au long de l’année.
- Soldée la « politique de civilisation ».
- Soldé le partage équitable des profits des entreprises : le premier tiers aux travailleurs, le second aux actionnaires et le troisième pour financer les investissements. Peu de chance cependant que cette proposition ressorte avant longtemps de l’arrière-boutique sarkozienne,
- soldé le pouvoir d’achat revalorisé que les Français attendent toujours et risquent encore d’attendre longtemps
- soldée la promesse de la disparition des sans-abri dans les deux ans . Dramatique constat, l’an dernier, plus de 360 SDF ont disparu : morts de froid !
- soldée l’assurance que « l’investissement dans la santé sera forcément majeur ». L’hiver arrivant, les hôpitaux publics manquent de places et de moyens tandis que les malades sont, chaque année, mis à contribution pour éponger 650 millions d’euros de franchises médicales.
A l’aube de 2009, le Président liquide un stock conséquent d’engagements ; il en existe suffisamment pour proposer un lot à prix cassé.
C’est la période des soldes, c’est le moment de s’offrir une bague déclassée ou une robe Dior démodée.
Pour notre Président , ce sont les soldes tout au long de l’année.
- Soldée la « politique de civilisation ».
- Soldé le partage équitable des profits des entreprises : le premier tiers aux travailleurs, le second aux actionnaires et le troisième pour financer les investissements. Peu de chance cependant que cette proposition ressorte avant longtemps de l’arrière-boutique sarkozienne,
- soldé le pouvoir d’achat revalorisé que les Français attendent toujours et risquent encore d’attendre longtemps
- soldée la promesse de la disparition des sans-abri dans les deux ans . Dramatique constat, l’an dernier, plus de 360 SDF ont disparu : morts de froid !
- soldée l’assurance que « l’investissement dans la santé sera forcément majeur ». L’hiver arrivant, les hôpitaux publics manquent de places et de moyens tandis que les malades sont, chaque année, mis à contribution pour éponger 650 millions d’euros de franchises médicales.
A l’aube de 2009, le Président liquide un stock conséquent d’engagements ; il en existe suffisamment pour proposer un lot à prix cassé.