Force est de constater que le chômage est resté stable durant les années 60 alors que la France connaissait une progression rapide des gains de productivité. Cela dépend surtout de la façon dont les gains de productivité sont répartis ou utilisés. A partir des années 80, la productivité ayant continué son accroissement, nous avons assisté à une réduction socialement agressive du temps de travail pour ne pas se être en surproduction industrielle. A coté du chômage qui en est l’expression la plus brutale, les situations de demi-emploi se multiplient : temps partiels, contrats à durée déterminée, l’intérim, ...
Partage agressif du temps de travail parce que l’on refuse la voie équitable du partage des gains de productivité. Seul les 35 heures ont tentés d’inverser cette tendance mais il aurait aussi fallu répartir autrement les profits.
Force est de constater que le chômage est resté stable durant les années 60 alors que la France connaissait une progression rapide des gains de productivité. Cela dépend surtout de la façon dont les gains de productivité sont répartis ou utilisés. A partir des années 80, la productivité ayant continué son accroissement, nous avons assisté à une réduction socialement agressive du temps de travail pour ne pas se être en surproduction industrielle. A coté du chômage qui en est l’expression la plus brutale, les situations de demi-emploi se multiplient : temps partiels, contrats à durée déterminée, l’intérim, ...
Partage agressif du temps de travail parce que l’on refuse la voie équitable du partage des gains de productivité. Seul les 35 heures ont tentés d’inverser cette tendance mais il aurait aussi fallu répartir autrement les profits.