Cet article, qui attire moins de commentaires que « La roue d’abondance », a le mérite de cadrer et de rappeler aux citoyens le rôle et les limites de l’action du Maire et de la Police Municipale ,ainsi que les faits, alors que depuis les évènements graves du 5 avril la désinformation alimentait les conversations , voire les fantasmes.
La délinquance est malheureusement aussi veille que le monde ! (Dans ma jeunesse , les « blousons noirs » faisaient parler d’eux et avant guerre les « zazous » …). Cependant, si l’on parle de délinquance en général, force est de constater qu’elle est plus fréquente, plus jeune, sans doute plus féminine, plus spontanée, plus dirigée contre les personnes et surtout plus violente que par le passé.
La violence gratuite reflète toujours une difficulté personnelle ou collective, et par ailleurs elle révèle une incapacité de communiquer autrement. Il est de fait que dans cette société, nombre de personnes sont dans l’incapacité de communiquer normalement.
Quelles réponses apportées ?
Selon l’article, il ne s’agit pas d’actes d’adolescents paumés mais de « jeunes adultes » après une nuit de beuverie mais pour les récidivistes on ne peut parler d’erreur de jeunesse.
Il me semble, que la prévention est fondamentale pour promouvoir le respect et prévenir la délinquance. Il est aussi toujours souhaitable de traiter les symptômes.
Mais pour les récidivistes, la prévention reste t-elle la solution la mieux adaptée ? Je crois qu’ il faut être réaliste, à un moment donné, il faut sanctionner, même si je pense qu’il est dommage de privilégier la sanction par rapport à l’éducation.
Alors, ce n’était pas ma « tasse de thé », mais pour les jeunes récidivistes l’encadrement militaire n’est pas une si mauvaise idée...
Cet article, qui attire moins de commentaires que « La roue d’abondance », a le mérite de cadrer et de rappeler aux citoyens le rôle et les limites de l’action du Maire et de la Police Municipale ,ainsi que les faits, alors que depuis les évènements graves du 5 avril la désinformation alimentait les conversations , voire les fantasmes.
La délinquance est malheureusement aussi veille que le monde ! (Dans ma jeunesse , les « blousons noirs » faisaient parler d’eux et avant guerre les « zazous » …). Cependant, si l’on parle de délinquance en général, force est de constater qu’elle est plus fréquente, plus jeune, sans doute plus féminine, plus spontanée, plus dirigée contre les personnes et surtout plus violente que par le passé.
La violence gratuite reflète toujours une difficulté personnelle ou collective, et par ailleurs elle révèle une incapacité de communiquer autrement. Il est de fait que dans cette société, nombre de personnes sont dans l’incapacité de communiquer normalement.
Quelles réponses apportées ?
Selon l’article, il ne s’agit pas d’actes d’adolescents paumés mais de « jeunes adultes » après une nuit de beuverie mais pour les récidivistes on ne peut parler d’erreur de jeunesse.
Il me semble, que la prévention est fondamentale pour promouvoir le respect et prévenir la délinquance. Il est aussi toujours souhaitable de traiter les symptômes.
Mais pour les récidivistes, la prévention reste t-elle la solution la mieux adaptée ? Je crois qu’ il faut être réaliste, à un moment donné, il faut sanctionner, même si je pense qu’il est dommage de privilégier la sanction par rapport à l’éducation.
Alors, ce n’était pas ma « tasse de thé », mais pour les jeunes récidivistes l’encadrement militaire n’est pas une si mauvaise idée...