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Jean-Yves Le Drian a lancé sa campagne

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Devant une salle comble à Rennes, Jean-Yves Le Drian a présenté son projet pour les élections régionales du mois de mars et l’équipe qui, avec lui, s’engage à mettre en oeuvre ce projet au service de la Bretagne.

Voir en ligne : Le site de Jean-Yves Le Drian

Un projet breton fait par les bretons

Forte de son bilan incontestable depuis 2004, la Région Bretagne sous la direction de Jean-Yves Le Drian, se prépare à l’échéance de mars. Alors que la droite menée à la baguette par la préfète Malgorn n’a pas d’autre programme que de mettre la Bretagne au pas, les Bretons ont élaboré collectivement un projet à travers les forums organisés à la fin de l’année dernière.

Bretagne solidaire, créative, responsable

Ce projet se décline autour de trois thèmes, de trois mots : solidaire, créative, responsable.

Solidaire, la Bretagne veut se mobiliser pour l’avenir des jeunes, se battre pour des emplois qualifiés et pérennes en assurant l’équilibre de ses pays, et refuser les discriminations et les inégalités sociales.

Créative, la Bretagne compte sur la force de son identité et de sa culture pour relever les nouveaux défis, place la formation et l’innovation au coeur de son développement, et s’appuie sur la qualité de ses femmes et de ses hommes pour forger la nouvelle économie bretonne.

Responsable, la Bretagne s’affirme éco-pionnière dans toutes ses activités, fait de la reconquête de la qualité de l’eau un enjeu vital, lutte et se protège contre le réchauffement climatique.

Une liste pour la Bretagne rassemblée

Au cours de cette réunion, Jean-Yves Le Drian a présenté sa liste qui rassemble à côté des socialistes et des communistes, des militants de Bretagne Ecologie, des personnalités de la société civile, qui veulent prendre le part dans la mise en oeuvre de ce beau projet pour la Bretagne. Bien sûr on peut regretter que les Verts et l’UDB qui ont participé jusqu’ici à l’action régionale aient renoncé à continuer avec Jean-Yves Le Drian.

Notre territoire sera représenté par Monique Danion, maire de la Vraie-Croix, vice-présidente de la Communauté de Communes et conseillère régionale sortante, mais aussi par Franck Guillouzouic, maire-adjoint à Questembert, qui rejoint la liste au titre de Bretagne Ecologie.

Le Mensuel de Rennes a publié un compte-rendu du lancement de la campagne à lire ici

En attendant les résultats

Publié le samedi 6 février 2010.

Messages

  • Vous renvoyez à l’article du Mensuel de Rennes...

    Il y en a un autre consacré aux couacs de la liste Malgorn. A lire d’urgence

    Répondre à ce message

  • Pour parler de bilan, voir l’évaluation des gestions régionales par le magazine économique Challenges

    Votre région est-elle bien gérée ?

    La réponse est oui ! 3 étoiles à égalité avec l’Aquitaine, la Haute Normandie et le Languedoc Roussillon.

    Alors la préfète peut aller remettre son uniforme....

    Répondre à ce message

    • Voilà ce que rapporte Libération :

      Bertrand, le bobard qui valait 7 milliards
      DESINTOX

      Depuis le début de la campagne, le secrétaire général de l’UMP dénonce l’augmentation des impôts dans les régions socialistes. Il assène un chiffre choc... et toc

      Xavier Bertrand sur TF1, le 11mars, affirme avec assurance (il en fait son métier !) :
      « Chaque année, c’est 7milliards d’euros d’impôts de plus que les régions gérées par le parti socialiste ont décidé d’augmenter. »

      INTOX A défaut de rigueur, Xavier Bertrand sait faire preuve de constance. Le secrétaire général de l’UMP aura passé toute la campagne des régionales à asséner un chiffre faux.

      Si l’on additionne toutes les recettes fiscales supplémentaires « décidées » par les présidents des conseils régionaux, on arrive à environ 3,1 milliards d’euros depuis 2004. Ce qui est très loin des 7 milliards de Bertrand.

      En fait, pour arriver à son chiffre, ce dernier triche en ajoutant dans son calcul les recettes fiscales que l’Etat a affecté aux régions depuis 2004. La loi du 13 août 2004 sur les libertés et responsabilités des collectivités locales a transféré de nouvelles compétences aux régions (formation, inventaire régional, et surtout les dizaines de milliers de TOS - personnels techniciens, ouvriers et de services des lycées). Comme la loi l’y oblige, l’Etat a compensé le surcoût en faisant le choix de verser aux régions une partie du produit de la TIPP qu’il perçoit. Mais à la différence de la part modulable de la TIPP, qui s’apparente à un impôt régional, il ne s’agit pas d’une nouvelle prérogative fiscale des régions : ces dernières se voient affecter une recette fiscale dont le montant est fixé par le gouvernement, en compensation des charges transférées. Comme l’explique François Bouchard, directeur général des services de la région Alsace (UMP) : « Cette TIPP, dite « garantie », n’a rien à voir avec de la fiscalité locale. L’Etat doit de l’argent aux régions et décide de les payer avec la TIPP. Les régions n’ont pas la moindre marge de manœuvre sur cette opération. » En 2009, cette TIPP garantie représentait 3 milliards d’euros. Un montant qui apparaît dans les comptes des régions comme des recettes fiscales, mais qui en réalité s’apparente à « une dotation de l’Etat », explique François Bouchard. Ce qui n’empêche pas Bertrand de les comptabiliser comme des « impôts supplémentaires décidés[par les régions] ».

      Conclusion : sur les 6,5 milliards de recettes fiscales régionales supplémentaires en 2009 par rapport à 2004, la moitié n’a rien à voir avec les décisions des régions.

      Voir tout l’article

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