Notre piscine doit répondre à de multiples attentes. Le public demande toujours plus de plages d’ouverture, avec si possible des « activités » (aquagym, trampoline, etc) ; les scolaires du lycée, de la MFR, des collèges (2 à Questembert, 1 à Malansac), de nos écoles des 13 communes doivent avoir un accès conforme aux exigences des programmes d’éducation physique et occupent de multiples créneaux. Notez d’ailleurs que les écoliers ont des entrées gratuites, et que ceux des autres communes de la CC bénéficient en outre du transport gratuit. Il y a aussi deux clubs de plongée (apnée et bouteilles). Le Nautic Club bénéficie non seulement des entrées gratuites, mais aussi de l’assistance d’un MNS. Pour les compétitions du dimanche matin, il faudrait priver le public de créneaux très appréciés... et donc aussi, pour la Communauté, de recettes notables. Cela dit, la question peut être remise au débat : il y a pour cela un comité piscine, qui est attentif aux demandes des nageurs et des clubs.
Deux terrains de foot ? Plus que cela ! Il y d’un côté le stade d’honneur derrière la mairie, le stade historique avec des tribunes, et au Galinio, les terrains d’entraînement qui servent aussi aux compétitions des jeunes et des équipes autres que la A et la B. Il faut ajouter le terrain des Buttes, qui préfigure un futur nouveau stade ; il est simplement enherbé, la piste d’athlétisme reste sommaire, le terrain sert aux scolaires et à l’école de rugby. Il faut savoir qu’il y a près de 400 pratiquants du football enregistrés à la Bogue d’or. De plus, les terrains en herbe sont fragiles aux intempéries : au-delà de 4 matches par semaine, même par temps correct, un terrain en herbe ne résiste pas. Cela dit, la réflexion est engagée avec les responsables de la Bogue d’or sur le devenir des terrains. Et la question du stade d’honneur (et des vestiaires) est au centre des débats.
Ces deux points m’amènent à parler de ce qu’on appelle les charges de centralité : la petite ville centre doit fournir des services largement au-delà de ses propres besoins. Nous accueillons 3000 scolaires, et cela impose par exemple des équipements sportifs très lourds : ceux dont nous disposons sont occupés presque en pleine capacité. Ainsi la première piscine, dans les années 70, a été construite à Questembert qui pendant longtemps a assumée seule le coût énorme de son fonctionnement. Aujourd’hui encore, à travers les charges transférées à la Communauté, la contribution invisible des Questembertois est de plus de 25 Euros par habitant.
Ces deux points m’amènent à parler de ce qu’on appelle les charges de centralité : la petite ville centre doit fournir des services largement au-delà de ses propres besoins. Nous accueillons 3000 scolaires, et cela impose par exemple des équipements sportifs très lourds : ceux dont nous disposons sont occupés presque en pleine capacité. Ainsi la première piscine, dans les années 70, a été construite à Questembert qui pendant longtemps a assumée seule le coût énorme de son fonctionnement. Aujourd’hui encore, à travers les charges transférées à la Communauté, la contribution invisible des Questembertois est de plus de 25 Euros par habitant.