Rythmes scolaires, au coeur de la refondation de l’école
23 octobre 2013, 21:10
L’enfant doit être au coeur de cette réforme, et non le budget...
Trouvez-vous normal de proposer des horaires décalés qui perturbent les enfants, d’obliger les familles à inscrire leurs enfants à la cantine pour éviter les soucis d’organisation, d’obliger les enfants à manger avec un lance-pierre ?
L’organisation imposée à Questembert est au détriment de l’enseignement, il est inadmissible de perdre 30 min d’apprentissage au retour des TAP pour calmer les élèves parce qu’ils viennent de « s’épanouir » en pratiquant le futsal (pardon : foot-cour !) ou en jouant à se tuer.
Je suis également choqué de lire dans le bulletin municipal que les TAP sont une vraie motivation pour les élèves de venir à l’école... Si les enfants ne sont motivés que par ça, autant arrêter de leur apprendre des choses en classe et proposer des TAP toute la journée.
Alors oui, le rythme de l’enfant est à revoir mais pour que la réforme soit efficace, il faut accepter de revenir sur ses décisions et de proposer (et non imposer) une organisation qui répond vraiment aux besoins de l’enfant et non à des contraintes budgétaires.
L’enfant doit être au coeur de cette réforme, et non le budget...
Trouvez-vous normal de proposer des horaires décalés qui perturbent les enfants, d’obliger les familles à inscrire leurs enfants à la cantine pour éviter les soucis d’organisation, d’obliger les enfants à manger avec un lance-pierre ?
L’organisation imposée à Questembert est au détriment de l’enseignement, il est inadmissible de perdre 30 min d’apprentissage au retour des TAP pour calmer les élèves parce qu’ils viennent de « s’épanouir » en pratiquant le futsal (pardon : foot-cour !) ou en jouant à se tuer.
Je suis également choqué de lire dans le bulletin municipal que les TAP sont une vraie motivation pour les élèves de venir à l’école... Si les enfants ne sont motivés que par ça, autant arrêter de leur apprendre des choses en classe et proposer des TAP toute la journée.
Alors oui, le rythme de l’enfant est à revoir mais pour que la réforme soit efficace, il faut accepter de revenir sur ses décisions et de proposer (et non imposer) une organisation qui répond vraiment aux besoins de l’enfant et non à des contraintes budgétaires.