La réforme des collectivités locales est un projet qui va marquer le paysage institutionnel de la France pour des années.
En concentrant les pouvoirs et les moyens dans les mains de l’Etat, la réforme est une régression considérable alors que la décentralisation s’était imposée dans les pratiques et les esprits depuis bientôt 30 ans.
Quel argument le Gouvernement avance-t-il pour justifier sa grande réforme : « il y a trop d’élus », ils coûtent trop chers, on va en réduire le nombre.
Argument stupide (les indemnités des élus représentent un faible % du budget des Régions) et simpliste qui a évidemment pour objet de réveiller chez certains le mépris qu’ils ont vis à vis des élus.
Ce qu’on appelle « l’antiparlementarisme » a de beaux jours devant lui. Même chose, mêmes effets lorsqu’il s’agit de « supprimer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite ». Fonctionnaire que certains considèrent comme « improductifs »
La réforme des collectivités locales est un projet qui va marquer le paysage institutionnel de la France pour des années.
En concentrant les pouvoirs et les moyens dans les mains de l’Etat, la réforme est une régression considérable alors que la décentralisation s’était imposée dans les pratiques et les esprits depuis bientôt 30 ans.
Quel argument le Gouvernement avance-t-il pour justifier sa grande réforme : « il y a trop d’élus », ils coûtent trop chers, on va en réduire le nombre.
Argument stupide (les indemnités des élus représentent un faible % du budget des Régions) et simpliste qui a évidemment pour objet de réveiller chez certains le mépris qu’ils ont vis à vis des élus.
Ce qu’on appelle « l’antiparlementarisme » a de beaux jours devant lui. Même chose, mêmes effets lorsqu’il s’agit de « supprimer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite ». Fonctionnaire que certains considèrent comme « improductifs »