Selon les néo-libéraux, les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après-demain … En vertu de cette idée et depuis 30 ans, pour maintenir et augmenter les profits, le partage des richesses créées s’est fait au bénéfice du profit par le biais de la baisse des salaires et de la massification du chômage.
Cependant, si les profits ont explosés, on constate que les investissements attendus, devant créer des emplois nouveaux, ne sont pas au rendez vous.
Les revenus salariaux ont baissé mais n’ont pas permis de faire monter l’investissement, seuls les revenus financiers et spéculatifs, les dividendes, les plus values boursières ont grimpé. D’où la crise !
Pour les libéraux, le chômage est bien une variable d’ajustement pour les profits.
Selon les néo-libéraux, les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après-demain … En vertu de cette idée et depuis 30 ans, pour maintenir et augmenter les profits, le partage des richesses créées s’est fait au bénéfice du profit par le biais de la baisse des salaires et de la massification du chômage.
Cependant, si les profits ont explosés, on constate que les investissements attendus, devant créer des emplois nouveaux, ne sont pas au rendez vous.
Les revenus salariaux ont baissé mais n’ont pas permis de faire monter l’investissement, seuls les revenus financiers et spéculatifs, les dividendes, les plus values boursières ont grimpé. D’où la crise !
Pour les libéraux, le chômage est bien une variable d’ajustement pour les profits.