Contrairement à ce qu’affirme Monsieur BURBAN dans la presse, le problème principal de l’Association n’est pas le salaire du directeur du Foyer, mais bien la pérennité du projet.
Les familles, les résidents, les salariés veulent que le projet de l’établissement soit maintenu. Ce projet est en danger.
Il a fallu que les promoteurs se battent pour obtenir l’autorisation de faire les repas sur place, d’avoir des ateliers, la serre, la ferme pédagogique...
Nous savons que le futur projet de la DGISS 56 est tout autre.
Pour le Directeur Général de la DGISS, son projet se résume à de l’encadrement occupationnel, la restauration serait sous la responsabilité d’une structure existante.
Le Foyer passerait d’un état d’esprit familial à une gestion rationnelle d’entreprrise, qui certainement coûterait moins cher au budget de la DGISS et qui permettrait de développer une activité restauration sur le site du Roc St André.
Mais est-ce là une finalité acceptable pour des personnes handicapées ?
Le fonctionnement de l’ancien Conseil d’Administration était complètement en décalage par rapport aux statuts. Il était noyauté par les politiques.
Les parents veulent leur place dans cette instance décisionnelle.
L’application de la convention collective doit être intégrale, la DGISS ne fournit pas le budget à hauteur des coûts... Faire au moindre coût est sa priorité.
Contrairement à ce qu’affirme Monsieur BURBAN dans la presse, le problème principal de l’Association n’est pas le salaire du directeur du Foyer, mais bien la pérennité du projet.
Les familles, les résidents, les salariés veulent que le projet de l’établissement soit maintenu. Ce projet est en danger.
Il a fallu que les promoteurs se battent pour obtenir l’autorisation de faire les repas sur place, d’avoir des ateliers, la serre, la ferme pédagogique...
Nous savons que le futur projet de la DGISS 56 est tout autre.
Pour le Directeur Général de la DGISS, son projet se résume à de l’encadrement occupationnel, la restauration serait sous la responsabilité d’une structure existante.
Le Foyer passerait d’un état d’esprit familial à une gestion rationnelle d’entreprrise, qui certainement coûterait moins cher au budget de la DGISS et qui permettrait de développer une activité restauration sur le site du Roc St André.
Mais est-ce là une finalité acceptable pour des personnes handicapées ?
Le fonctionnement de l’ancien Conseil d’Administration était complètement en décalage par rapport aux statuts. Il était noyauté par les politiques.
Les parents veulent leur place dans cette instance décisionnelle.
L’application de la convention collective doit être intégrale, la DGISS ne fournit pas le budget à hauteur des coûts... Faire au moindre coût est sa priorité.