Je vous retransmets une partie d’article de mon journal local (Le Dauphiné Liberé) qui traite du futur « Plan Mercredi » de l’état.
« Reste par contre une énigme : le »Plan mercredi" de l’État ! Le gouvernement semble en effet préparer pour juin un texte de loi visant à structurer le fonctionnement des services locaux d’accueil des enfants le mercredi.
Et à ce jeu, l’État parle d’accueils « périscolaires » alors que la Communauté de Communes ne gère que des accueils « extrascolaires », hors temps d’école. Du coup, si la loi bascule les accueils du mercredi en compétence périscolaire, le conseil communautaire devra décider, soit de laisser la compétence (et les charges) périscolaire aux communes, soit modifier ses statuts au 1er septembre 2018 pour se doter de la compétence facultative « gestion des accueils de loisirs périscolaires du mercredi pour les enfants de 3 à 11 ans ».
Les enjeux organisationnels et financiers ne sont pas neutres pour les collectivités comme pour les familles en matière de mode de garde du mercredi, surtout dans un contexte de retour massif à l’école à 4 jours déjà acté par les conseils d’école"
Je vous retransmets une partie d’article de mon journal local (Le Dauphiné Liberé) qui traite du futur « Plan Mercredi » de l’état.
« Reste par contre une énigme : le »Plan mercredi" de l’État ! Le gouvernement semble en effet préparer pour juin un texte de loi visant à structurer le fonctionnement des services locaux d’accueil des enfants le mercredi.
Et à ce jeu, l’État parle d’accueils « périscolaires » alors que la Communauté de Communes ne gère que des accueils « extrascolaires », hors temps d’école. Du coup, si la loi bascule les accueils du mercredi en compétence périscolaire, le conseil communautaire devra décider, soit de laisser la compétence (et les charges) périscolaire aux communes, soit modifier ses statuts au 1er septembre 2018 pour se doter de la compétence facultative « gestion des accueils de loisirs périscolaires du mercredi pour les enfants de 3 à 11 ans ».
Les enjeux organisationnels et financiers ne sont pas neutres pour les collectivités comme pour les familles en matière de mode de garde du mercredi, surtout dans un contexte de retour massif à l’école à 4 jours déjà acté par les conseils d’école"
La réflexion est ouverte .....