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La CNEC refuse le centre Leclerc

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La Commission Nationale d’Equipement Commercial, dans sa réunion du 26 juin, a refusé le Centre Leclerc qui avait été accepté par la Commission Départementale au mois de février dernier.

Malgré les cinq voix en faveur du projet, le préfet du Morbihan avait introduit un recours devant la CNEC, comme le souhaitait la Chambre de Commerce. Et la CNEC a refusé le projet.

Les voix des élus, de la Chambre des Métiers et des Consommateurs ont été tenues pour négligeables.

A chacun de juger qui porte la responsabilité de ce coup d’arrêt au développement de notre commune.

Publié le mercredi 27 juin 2007.

Messages

  • Enfin une décision sérieuse pour notre petite ville. Avoir 3 hypermarchés pour une ville comme Questembert cela relevé presque de la folie. J’ai bien l’impression que les personnes qui porter se projet avait tout simplement oublié les petits commerces du centre ville. Pour ce qui est du développement de notre commune je pense quelle à d’autre atout et ce n’est pas le refus d’un centre Leclerc qui va nous freiner. Cependant si c’est messieurs de Leclerc son toujours intéresser par notre ville nous attendons leur magasin de vêtement au centre ville. Ce qu’il manque à Questembert ce n’est pas des marchands de nourriture nous avons déjà largement le choix se son surtout des spécialistes en médecine, des magasins spécialisés ( jouer, informatique etc.…), un fast food pour les jeunes, un magasin spécialisé pour les voitures ex feu vert…

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    • Où avez-vous vu des hypermarchés à Questembert ?... je n’y ai vu que des petits supermarchés... La ville de Vannes aura donc fini d’écraser son petit prétendant... Questembert restera donc la ville dortoir de Vannes... sa banlieue, et rien de plus. C’est malheureux.

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    • Cher Bertrand
      Libre à vous de considérer qu’il n’y avait pas de place pour un Leclerc à Questembert. Pourtant, les chiffres sont là et tous ceux qui s’intéressent à la question les connaissent : l’évasion commerciale de Questembert vers d’autres zones est importante. Elle représente 25% pour l’alimentaire et plus de 40% pour tout le reste. Cela veut dire que le quart de l’argent que les Questembertois dépensent pour l’alimentation s’en va ailleurs, sans compter le reste.
      Maintenant ce projet a été rejeté, et nous savons tous qui a été manoeuvré pour empêcher qu’il aboutisse. Vous le savez vous aussi, n’est-ce pas ?

      Nos concurrents ont cherché l’appui du commerce de centre ville pour contrer le projet en faisant peur ; c’est pour cela que nous avons été amenés à proposer un Leclerc textile en centre-ville. Mais au prix que nous avions négocié pour l’immeuble, ce magasin n’était viable qu’avec l’appui de l’hypermarché. Comprenez qu’aujourd’hui, nous ne pouvons pas aller plus loin. Cette place méritait pourtant d’être dynamisée.

      Vous évoquez d’autres besoins : médecins spécialistes, fast-food (!!), centre auto, etc. Nous avions des contacts avec des partenaires questembertois, des commerçants de la ville, pour offrir des services complémentaires autour de notre hypermarché. Mais une locomotive comme un hyper Leclerc avec un espace culturel aurait pu débloquer d’autres projets, et attirer d’autres enseignes, d’autres services.

      Maintenant, il faudra attendre au moins 12 mois avant de reprendre le projet. Sûrement profitable pour les concurrents

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    • J’aimerais bien connaître qui tire les ficelles comme vous le dite. J’ai horreur des gens public qui ne s’assume pas. Si vous savez qui à fait capituler le projet du centre Leclerc ( et je le regrette) dit le publiquement ou alors taisez vous cela ne vous grandis pas.

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    • Je ne peux pas répondre à la question du lecteur d’ouest-france à laquelle vous faites allusion : qui tire les ficelles ? Il est vrai que je me suis étonné de voir M. Lemaire interviewé par Ouest-France. Quant à savoir qui étaient les adversaires de l’arrivée de Leclerc chez nous, ils étaient de trois groupes : la chambre de commerce qui a tendance à défendre les intérêts des gens déjà en place, certains altermondialistes qui considèrent que la grande distribution est un danger pour notre société, et une partie de l’opposition municipale, emmenée par le conseiller général qui voit là un moyen de gêner l’action de la majorité.

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  • Qui tire les ficelles ?.

    je lis dans ouest-france d’hier que m lemaire est toujours directeur d’intermarché à Questembert. Je croyais qu’il avait vendu son affaire (intermarché et netto). expliquez-moi

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  • Et maintenant quand est-il ? En effet, je sous convaincu du bien fondé de ce projet. De plus, une enseigne comme Leclerc attirera d’autres services.

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  • Tout à fait d’accord, celà est bien triste pour Questembert.
    On a la désagréable impression que la ville de Questembert n’est pas libre de ses choix. L’opinion publique ne compte pas.
    Les décisionnaires se trouvent ailleurs et sont guidés par des personnes influantent qui ne visent qu’a protégés leurs capitaux. Que les Questembertois soient obligés de faire 60 km aller-retour pour trouver d’autres choix et de la concurrence ne les interresse évidemment pas.
    On nous parle de mondialisation... et ici, à Questembert on est pas capable d’accepter la venue d’un hypermarché, pourtant créateur d’emplois et moteur pour toute la région.
    Et pendant ce temps, la zone de Parc Lann de Vannes déjà gigantesque ne cesse de s’agrandir et d’accueillir de nouvelles enseignes... Pourquoi se gêneraient-ils les vannetais ?

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